Je crois t’aimer mais tu n’es jamais à l’écoute.
Tu passes ce cinéma, infâme croute.
Ta tête remplie, il n’y a pas de doute.
Tu veux te venger sur ce que tu redoutes.
Ta mère n’y est pour rien, je pense, doute.
Fantômes vomissent sur nous une voute.
Je t’ai tellement aimé que je les redoute.
Tu me fais souffrir ma fée, ma clef de voute.
Je te croyais clean, regarder la redoute.
N’aitre que là de mes défauts à l’écoute.
Tu m’obsèdes, pas vu mes yeux les gouttes.
Je voudrais enfin te dire que tu me dégoutes.
Si s’était simple, je n’aurais pas de doutes.
Ce n’est pas simple, faire avec toi la route.
Si je devais aimer, ce serait toi sans doute.
Comment aimer la femme qui me redoute,
Je n’étais pas sage mais bientôt l’âge.
J’ai toujours voulu partir sans ces bagages.
Un gamin chante dans ma tête, un petit.
Il n’est pas grand et de la vie a l’appétit.
A force de pleurer, tu m’as emprisonné.
D’un doigt qui se veut rageur tu m’as condamné.
Tu as pensé à toi, tu as passé le gant.
Maintenant je me sens plus petit que les grands.
Tu passes ce cinéma, infâme croute.
Ta tête remplie, il n’y a pas de doute.
Tu veux te venger sur ce que tu redoutes.
Ta mère n’y est pour rien, je pense, doute.
Fantômes vomissent sur nous une voute.
Je t’ai tellement aimé que je les redoute.
Tu me fais souffrir ma fée, ma clef de voute.
Je te croyais clean, regarder la redoute.
N’aitre que là de mes défauts à l’écoute.
Tu m’obsèdes, pas vu mes yeux les gouttes.
Je voudrais enfin te dire que tu me dégoutes.
Si s’était simple, je n’aurais pas de doutes.
Ce n’est pas simple, faire avec toi la route.
Si je devais aimer, ce serait toi sans doute.
Comment aimer la femme qui me redoute,
Je n’étais pas sage mais bientôt l’âge.
J’ai toujours voulu partir sans ces bagages.
Un gamin chante dans ma tête, un petit.
Il n’est pas grand et de la vie a l’appétit.
A force de pleurer, tu m’as emprisonné.
D’un doigt qui se veut rageur tu m’as condamné.
Tu as pensé à toi, tu as passé le gant.
Maintenant je me sens plus petit que les grands.